Toyota Hiace LH30 de 1980
Le van ultime pour voyager !
Marque : Toyota
Modèle : Hiace LH30
Carburant : Diesel
Moteur : 2.2 L (moteur L)
Consommation : 8L / 100KM
Année : 1980
Kilomètres : 100.000km
Prix d’achat : 5800€
Prix de l’aménagement : 5000€
Je cherchais un van fiable, facile à réparer, en propulsion, de petite taille, avec un aspect esthétique sympa.
Après plusieurs recherches, je suis vite tombé sur les Volkswagen T3, qui sont très jolis esthétiquement, mais sont un enfer en termes de fiabilité.
Puis, en continuant peu à peu mes recherches, je suis tombé sur ce modèle : le Toyota Hiace, qui avait une bonne bouille.
En me renseignant davantage, j’ai compris que ce genre d’engin était au top niveau fiabilité !
En plus de ça, c’est une propulsion (motricité venant des roues arrière), ce qui permet de monter des côtes assez raides en off-road sans patiner.
J’ai donc commencé mes recherches et je suis tombé sur Barnabé, et j’ai tout de suite craqué.
Le lendemain, j’étais en train de faire un essai routier avec lui, pour finalement l’acheter évidemment.
Dans ma tête, c’était lui : le van ultime qui allait me faire voyager.
. Petit, pas beaucoup de place à l’intérieur
. La hauteur de la caisse
. Le bruit du moteur quand on roule. il se situe juste en dessous des sièges…
. Niveau sécurité (pas de airbags, pas de moteur pour protéger un minimum)
. Pas de direction assistée
. Les côtes se font souvent entre 30 et 50km/h
. Passe partout vu sa taille
. Propulsion (les roues arrières sont motrices, gros avantage pour les côtes sur piste)
. Consommation correcte
. facilité de réparation dans la plupart des pays
. Pas d’électronique
. Un capital sympathie (tout le monde l’adore)
Ça fait maintenant 2 ans que je roule et me balade avec ce bon vieux Barnabé.
Et grâce à ça, je vais pouvoir te faire un retour concret sur son utilisation et voir s’il correspond vraiment à mes attentes.
Pendant ces années, j’ai roulé 50 000 kilomètres avec, et à aucun moment il ne m’a laissé tomber.
En d’autres termes, je n’ai jamais eu besoin d’appeler une dépanneuse. Rien que pour ça, il me comble parfaitement !
Évidemment, j’ai dû dépenser pas mal d’argent pour son entretien : sur les 2 ans, je tourne à 1000 euros par an entre les vidanges, les pièces qui cassent, les joints qui fatiguent, et un démontage du moteur.
Avec son âge, les pièces d’origine commencent forcément à fatiguer, surtout avec l’utilisation intensive que j’en fais.
En tout cas, sa fiabilité est à la hauteur de mes attentes, surtout que quand je voyage, je fais environ 30 % de pistes et 70 % de routes, ce qui n’aide pas à éviter le garage !
Au niveau de la taille, je suis aussi très satisfait.
Il me permet de passer vraiment partout. Aller en ville n’est pas un calvaire, j’arrive à me glisser dans n’importe quelle place de parking.
Quand je pars sur des pistes et que les arbres recouvrent parfois le chemin, sa hauteur de 2 mètres est un gros avantage, car je ne touche presque jamais.
En revanche, sa hauteur de caisse (espace entre le sol et le fourgon) est un léger désavantage sur les terrains accidentés, je touche vite si je ne fais pas attention
L’habitabilité en revanche est incroyable pour ce van : j’ai 3 mètres d’espace de vie à l’arrière pour un van qui fait 4,69 m.
L’optimisation japonaise est vraiment impressionnante !